Siamon

Siamon
Image illustrative de l’article Siamon
Sphinx en bronze de Siamon – Musée du Louvre.
Période Troisième Période intermédiaire
Dynastie XXIe dynastie
Fonction Pharaon
Prédécesseur Osorkon l'ancien
Dates de fonction v. 975 à 957 AEC[1]
Successeur Psousennès II
Famille
Grand-père paternel Psousennès Ier ?
Grand-mère paternelle Moutnedjemet ?
Père Amenemopé ?
Conjoint Karimala ?
Enfant(s) Psousennès II ?
Sépulture
Nom Tombe NRT III, Antichambre
Type Tombeau
Emplacement Nécropole royale de Tanis
Date de découverte
Découvreur Pierre Montet
Objets Sarcophage en bois désagrégé orné d'un uræus et d'yeux en bronze
momie à l'état d'ossements
débris de bijoux et parures funéraires
vases canopes en albâtre
374 ouchebtis
modifier Consultez la documentation du modèle

Siamon est un roi de la XXIe dynastie, ayant régné vers 975 à 957 avant l'ère commune[2]. Ses liens avec ses prédécesseurs et son successeur sont inconnus, toutefois, son règne semble être l'un des plus actifs de la période[3].

Généalogie

Les origines de Siamon sont inconnues, mais il semble s'inscrire dans la lignée des rois tanites. Ainsi, il est possible qu'il soit tout simplement le fils de son deuxième prédécesseur Amenemopé[4].

La reine Karimala, « grande épouse royale » et « fille du roi », est donnée par Chris Bennett comme fille d'Osorkon l'ancien et épouse de Siamon ou de Psousennès II, avec une préférence pour Siamon[5]. Cette théorie reste toutefois peu suivie, et l'ouvrage de synthèse de Frédéric Payraudeau ignore complètement cette reine[6].

Tout comme Siamon, les origines de Psousennès II sont inconnues, mais il semble lui aussi s'inscrire dans la lignée des rois tanites. Ainsi, il est possible qu'il soit tout simplement le fils de Siamon[7].

Règne

Siamon a laissé plus de traces que ses prédécesseurs immédiats, indiquant un déploiement inédit d'activités à travers tout le pays depuis le règne de Psousennès Ier. Si rien n'est connu de ses origines, son nom amonien le rattache sans conteste à ses prédécesseurs (Amenemnesout, Amenemopet, Psousennès). Mantéthon indique neuf ans de règne mais ceci est contredit par la documentation (stèle privée datée de l'an XVI à Memphis et deux inscriptions datées de l'an XVII à Karnak et Abydos) et une durée de dix-neuf ans est plus probable[8].

L'activité constructrice du roi se répartit sur toute la Basse-Égypte. À Tanis, il fonde le premier pylône du temple d'Amon, qu'il fait orner d'une paire d'obélisques certainement prélevés sur le site de Pi-Ramsès, et fait bâtir une enceinte pour le temple de Mout, son nom se trouve aussi sur des sphinx usurpés et des reliefs. À Memphis, le grand prêtre de Ptah Pépi B Netjerkhéperrê Méryptah (en) fait édifier au nom du roi une chapelle dédiée à Ptah et Amon maître du lapis-lazuli. Des blocs au nom du roi ont également été retrouvés à Héliopolis et Khatâna[9].

En Haute-Égypte, et particulièrement à Thèbes, si son nom est cité dans les inscriptions, il est difficile de savoir si cette activité est due à la volonté propre de Siamon ou s'il s'agit plutôt de celle du grand prêtre d'Amon, à savoir Pinedjem II jusqu'à l'an X et le fils de ce dernier Psousennès III après cette date. En l'an V, Pinedjem II fait inhumer son épouse Neskhons dans la tombe DB320 à Deir el-Bahari, épouse dont la succession fait l'objet en l'an VIII d'un décret oraculaire sur le Xe pylône du temple d'Amon à Karnak. C'est sous l'autorité de Pinedjem II qu'en l'an X est effectué le transfert des momies de Ramsès Ier, Séthi Ier et Ramsès II vers la tombe enrore non localisée de la reine Ahmès-Inhapy. C'est sous le règne de Siamon que Maâtkarê, divine adoratrice d'Amon et fille de Pinedjem Ier meurt et que Hénouttaouy lui succède[10].

Son règne caractérise probablement le retour de l'Égypte sur la scène internationale : non seulement un, un relief découvert à Tanis montre le roi massacré des ennemis à l'allure égéenne (probablement des Philistins), mais aussi Nimlot, frère d'Osorkon l'ancien, qui a mené une expédition dans le pays du dieu, qui est probablement à situer au Levant. Enfin, la Bible indique (I Rois, 9, 6) que Pharaon a pris la ville de Gezer pour l'offrir en dot à sa fille qui devait épouser Salomon ; si la véracité du récit est difficile à établir, la chronologie d'un tel évènement indiquerait le règne de Siamon ou de son successeur Psousennès II[11].

Sépulture

On ignore où précisément se trouve sa première sépulture. Il faut probablement la situer à Tanis car on y a retrouvé une nécropole royale contemporaine et des éléments significatifs du viatique funéraire du roi ont été découverts dans l'antichambre du tombeau de Psousennès Ier en compagnie de celles de deux autres rois réinhumés dans cette même pièce.

Le tombeau de Psousennès Ier est la troisième tombe découverte par la mission conduite par le Pr. Pierre Montet. Elle est mise au jour le [12].

L'Antichambre est la première pièce du tombeau de Psousennès Ier. Elle a été transformée en cachette royale a une date imprécise mais que l'on situe à la XXIIe dynastie, en raison de l'inhumation la plus récente qui est celle de Sheshonq II.

Contenant trois sépultures secondaires de personnages royaux dont les sarcophages royaux ont été installés sur une estrade constituée de blocs de granite remployés, le sarcophage de Sheshonq II est alors le seul identifiable du premier coup en raison de son bon état de conservation[13]. L'identification des deux autres compagnons royaux de Sheshonq ne fut possible qu'une fois étudié le mobilier restant de leurs viatiques funéraires trouvé sur les restes des momies royales et devant chacune d'entre elles au bas de l'estrade[14].

Certains égyptologues, dont Bill Manley, avancent donc que l'une des deux momies complètement décomposées qui encadraient celle de Sheshonq, serait la dépouille de Siamon.

Cette proposition est fondée sur la découverte d'ouchebtis trouvés avec les momies de l’antichambre de Psousennès et dont certains portaient en effet le nom de Siamon[15],[16].

La momie du roi était contenue dans un sarcophage en bois doré, disparu depuis longtemps avec les siècles et l'humidité ambiante. Seuls subsistaient les ornements en bronze qui formaient notamment les yeux et l’uræus du sarcophage, ainsi que des débris de feuilles d'or retrouvés sur place et quelques bijoux prophylactiques épargnés lors du premier pillage dont le sarcophage a été victime avant de reposer en sécurité dans l'antichambre du caveau de Psousennès.

Voici la relation de la découverte des objets et de l’identification de ces restes par Pierre Montet :

« J’ai fait des photos, copie de textes etc. et fini de récolter les ouchabtis dans le tombeau. La momie à gauche est celle de Siamon !

C’est donc bien une cachette. On a retiré les momies royales de leurs tombeaux respectifs, pour les mettre en sûreté chez Psousennès[17]. »

Désagrégée avec le temps et les mauvaises conditions de conservation du sol tanite, la momie du roi placée à la gauche de Sheshonq comportait encore un scarabée de cœur[18].

Devant l'estrade, outre les ouchebtis aux noms des rois[19], leurs vases canopes ont été également découverts.

Ainsi, si le tombeau original du roi est donc pour le moment perdu, sa momie a été découverte à Tanis, mise à l'abri des pillards par les prêtres égyptiens.

Siamon et Salomon

Siamon est parfois identifié au Pharaon de la Bible qui serait contemporain des rois David et Salomon[20].

Selon la Bible, le roi David envahit le royaume d'Édom et contraint son roi, Had(d)ad, à prendre la fuite[21]. Celui-ci arrive alors en Égypte, où le pharaon l'accueille et lui donne une maison, pourvoit à sa subsistance, et lui accorde des terres[22]. Pharaon lui donne aussi en mariage une princesse égyptienne, la sœur de sa femme, la sœur de la reine Thachpenès[23]. De cette union naît un fils, Genoubath (ou Guenubath), qui est élevé à la cour de Pharaon, au milieu des enfants de celui-ci[24]. À la mort de David, vers 970 av. J.-C., et de Joab, chef de l'armée de David et responsable du massacre sur son peuple, Hadad dit à Pharaon : « Laisse-moi aller dans mon pays[25]. » Pharaon lui dit : « Que te manque-t-il auprès de moi, pour que tu désires aller dans ton pays ? ». Il répond : « Rien, mais laisse-moi partir[26]. » Hadad reprend alors son royaume, sous la protection des Égyptiens.

Entretemps, Salomon a succédé à son père David comme roi d’Israël, et il va régner de -970 à -931. Le pharaon passe également une alliance avec lui, qui se concrétise de nouveau par un mariage de cet autre roi avec une autre princesse égyptienne, union matrimoniale "diplomatique" et de bon voisinage que les successeurs de Siamon semblent avoir pérennisée par la suite, peut-être Psousennès II, mais plus sûrement Sheshonq Ier.

Titulature

Siamon
Voir ce modèle.
Première variante
 
G5
E2
D40
C10U6
Linteau inscrit aux cartouches de Siamon provenant de Memphis.
Codage
G5 [ E2:D40 C10 U6 ]
Translittération (Unicode)
Ḥr Kȝ-nḫt mr(y)-Mȝˁ.t
Translittération (ASCII)
Hr kA-nxt mr(y)-mAa.t
Transcription
Hor Kanakht Mérymaât
Traduction
Horus Taureau puissant, Aimé de Maât
Voir ce modèle.
Seconde variante
 
G5
E2
D40
C10U6H8
Z1
U6S3M17Y5
N35
O1
D21
D54
G17V28D36
F51B F51B F51B
I9
Codage
G5 [ E2:D40 C10 U6 H8:Z1 U6 S3 M17 Y5:N35 O1:D21:D54 G17 V28 D36:F51B*F51B*F51B:I9 ]
Translittération (Unicode)
Ḥr Kȝ-nḫt mr(y)-Mȝˁ.t sȝ-mr(y)-n(y)-Jmn pr(w)-m-ḥꜤ.w=f
Translittération (ASCII)
Hr kA-nxt mr(y)-mAa.t sA-mr(y)-n(y)-imn pr(w)-m-Ha.w=f
Transcription
Hor Kanakht Mérymaât Samérienamon Periemhaouef
Traduction
Horus Taureau puissant, Aimé de Maât, Fils aimé d'Amon, qui a émergé de son corps
Voir ce modèle.
Première variante
 
M23
X1
L2
X1
début du cartouche
N5R8L1M17Y5
N35
U21
N35
(Le hiéroglyphe représentant le dieu apparaît en tête par antéposition honorifique)
Codage
M23:X1 L2:X1 ( N5 R8 L1 M17 Y5:N35 U21:N35 )
Translittération (Unicode)
Nsw(t)-bjt(j) Nṯrj-ḫpr-Rˁ stp(w)-n-Jmn
Translittération (ASCII)
nswt-biti nTri-xpr-ra stp-n-imn
Transcription
Nesout-bity Netjerkhéperrâ Sétepenamon
Traduction
Roi de Haute et Basse-Égypte Divine est la manifestation de Rê, Élu d'Amon
Voir ce modèle.
Seconde variante
 
M23
X1
L2
X1
début du cartouche
N5R8L1M17Y5
N35
U7
(Le hiéroglyphe représentant le dieu apparaît en tête par antéposition honorifique)
Codage
M23:X1 L2:X1 ( N5 R8 L1 M17 Y5:N35:U7 )
Translittération (Unicode)
Nsw(t)-bjt(j) Nṯrj-ḫpr-Rˁ mr(y)-Jmn
Translittération (ASCII)
nswt-biti nTri-xpr-ra mr(y)-Imn
Transcription
Nesout-bity Netjerkhéperrâ Méryamon
Traduction
Roi de Haute et Basse-Égypte Divine est la manifestation de Rê, Aimé d'Amon
Voir ce modèle.
Première variante
 
G39N5
Z1
début du cartouche
M17Y5
N35
G38Z1
(Les hiéroglyphes représentant le dieu Amon apparaissent en tête par antéposition honorifique)
Codage
G39 N5:Z1 ( M17 Y5:N35 G38 Z1 )
Translittération (Unicode)
Sȝ-Rˁ Sȝ-Jmn
Translittération (ASCII)
sA-ra sA-Imn
Transcription
Sa-Râ Siamon
Traduction
Fils de Rê Le fils d'Amon
Voir ce modèle.
Deuxième variante
 
G39N5
Z1
début du cartouche
C12C12N36
H8 Z1
(Les hiéroglyphes représentant le dieu Amon apparaissent en tête par antéposition honorifique)
Codage
G39 N5:Z1 ( C12\-C12-N36:H8*Z1 )
Translittération (Unicode)
Sȝ-Rˁ Sȝ-Jmn mr(y)-Jmn
Translittération (ASCII)
sA-ra sA-Imn mr(y)-Imn
Transcription
Sa-Râ Siamon Méryamon
Traduction
Fils de Rê Le fils d'Amon, Aimé d'Amon
Voir ce modèle.
Troisième variante
 
G39N5
Z1
début du cartouche
M23X1
N35
G38Z1M17Y5
N35
G7
(Les hiéroglyphes représentant le dieu Amon apparaissent en tête par antéposition honorifique)
Codage
G39 N5:Z1 ( M23 X1:N35 G38 Z1 M17 Y5:N35 G7 )
Translittération (Unicode)
Sȝ-Rˁ nsw Sȝ-Jmn
Translittération (ASCII)
sA-ra nsw sA-Imn
Transcription
Sa-Râ Nésou Siamon
Traduction
Fils de Rê Le roi, Le fils d'Amon
Voir ce modèle.
Codage


Translittération (Unicode)


Translittération (ASCII)


Transcription
Ψιναχης (Manéthon)
Traduction
Psinachès

Notes et références

  1. Payraudeau 2020, p. 555.
  2. Selon von Beckerath, Grimal et Arnold :-978 à -959
    Autres avis de spécialistes : -984 à -965 (Redford), -968 à -948 (Redford).
  3. Payraudeau 2020, p. 87-91.
  4. Payraudeau 2020, p. 87-91, 560.
  5. Bennett 1999, p. 7-8.
  6. Payraudeau 2020.
  7. Payraudeau 2020, p. 91-93, 560.
  8. Payraudeau 2020, p. 87.
  9. Payraudeau 2020, p. 87-88.
  10. Payraudeau 2020, p. 88-89.
  11. Payraudeau 2020, p. 89-90.
  12. Nommée NRT III, pour « Nécropole Royale de Tanis, suivi du numéro d'inventaire de la découverte ».
  13. Ce sarcophage en argent massif a en effet résisté au temps en raison de sa matière même ; la momie du roi était quant à elle réduite à l'état de squelette comme les autres.
  14. Le découvreur de la tombe dénombre 365 ouchebtis qui portent « soit sur le dos soit sur les jambes soit sur le dos quelques signes tracés à l'encre presque toujours illisibles. En comparant les meilleurs exemplaires, je lirais avec réserve : l'Osiris roi, Siamon, l'aimé d'Amon » ; cf. Montet 1939, p. 248-249.
  15. Les ouchebtis sont des statuettes représentant des serviteurs funéraires qui accompagnaient le défunt dans sa tombe et devaient être à son service dans l'autre monde.
  16. Aubert 1987, Tanis, ..., cat. 18, p. 134.
  17. Montet 1998, Lettre du lundi 20 mars 1939, p. 154, note 13 p. 155 et Appendice IV, no 29, p. 246.
  18. Celle de Siamon ; cf. Montet 1998, Lettre du 7 février 1940, p. 199 et Appendice IV no 58, p. 249.
  19. Aubert 1987, catalogue 18, 19 et 20, p. 134-137.
  20. (en) Alberto R. Green, « Solomon and Siamun: A Synchronism between Early Dynastic Israel and the Twenty-First Dynasty of Egypt », Journal of Biblical Literature, The Society of Biblical Literature, vol. 97, no 3,‎ (JSTOR 3266164)
  21. 1R 11,14-17
  22. 1R 11,18
  23. 1R 11,19
  24. 1R 11,20
  25. 1R 11,21
  26. 1R 11,22

Bibliographie

  • Pierre Montet, « Rapport sur les fouilles de Tanis en 1939 », Compte rendu des séances de l'Académie des inscriptions et belles lettres, no 83,‎  ;
  • Liliane Aubert, Tanis, l'or des Pharaons, Paris, Association Française d’Action Artistique,  ;
  • Pierre Montet, Lettres de Tanis – La découverte des trésors royaux - Présentées et commentées par Camille Montet-Beaucour et Jean Yoyotte, Éditions du Rocher,  ;
  • (en) Kenneth Anderson Kitchen, The Third Intermediate Period in Egypt (1100–650 BC), Warminster, Aris & Phillips Limited, , 608 p. (ISBN 978-0856682988) ;
  • (en) Chris Bennett, « Queen Karimala, Daughter of Osochor? », Göttinger Miszellen, no 173,‎  ;
  • Frédéric Payraudeau, L'Égypte et la Vallée du Nil : Les époques tardives, t. 3, Paris, PUF, coll. « Nouvelle Clio », , 624 p. (ISBN 978-2130591368).
v · m
Période prédynastique
Dynastie zéro
Période thinite
Ire dynastie
IIe dynastie
Ancien Empire
IIIe dynastie
IVe dynastie
Ve dynastie
VIe dynastie
Première Période intermédiaire
VIIe et VIIIe dynasties
IXe et Xe dynasties
XIe dynastie thébaine (1re partie)
  • Montouhotep Ier
  • Antef Ier
  • Antef II
  • Antef III
Moyen Empire
XIe dynastie thébaine (2e partie)
  • Montouhotep II
  • Montouhotep III
  • Montouhotep IV
XIIe dynastie
  • Amenemhat Ier
  • Sésostris Ier
  • Amenemhat II
  • Sésostris II
  • Sésostris III
  • Amenemhat III
  • Amenemhat IV
  • Néférousobek
Deuxième Période intermédiaire
XIIIe dynastie
Rois non classés
XIVe dynastie
XVe dynastie hyksôs
XVIe dynastie thébaine
Dynastie d'Abydos (ou XVIe dynastie)
XVIIe dynastie thébaine
Nouvel Empire
XVIIIe dynastie
XIXe dynastie ramesside
XXe dynastie ramesside
  • Sethnakht
  • Ramsès III
  • Ramsès IV
  • Ramsès V
  • Ramsès VI
  • Ramsès VII
  • Ramsès VIII
  • Ramsès IX
  • Ramsès X
  • Ramsès XI
Troisième Période intermédiaire
XXIe dynastie de Tanis
Dynastie des grands prêtres d'Amon à Thèbes
(parallèle à la XXIe dynastie)
XXIIe dynastie de Bubastis-Tanis
  • Sheshonq Ier
  • Osorkon Ier
  • Sheshonq II
  • Sheshonq IIb
  • Takélot Ier
  • Osorkon II
  • Sheshonq III
  • Sheshonq IIIa
  • Pamy Ier
  • Sheshonq V
XXIIe dynastie
(branches parallèles)
Grands prêtres d'Amon à Thèbes
(parallèle à la XXIIe dynastie)
  • Ioupout
  • Sheshonq
  • Iouwelot
  • Nesbanebdjed III
  • ...dou...
  • Nimlot II
  • Horsaïset II
  • Takélot
  • Osorkon
XXIIIe dynastie de Tanis
  • Pétoubastis II
  • Osorkon IV
  • Néferkarê Pamy II
  • Gemenefkhonsoubak
  • Sékhemkarê
  • Pétoubastis
XXIVe dynastie saïte
XXVe dynastie koushite
XXVIe dynastie saïte (1re partie)
Basse Époque
XXVIe dynastie saïte (2de partie)
  • Psammétique Ier
  • Nékao II
  • Psammétique II
  • Apriès
  • Amasis
  • Psammétique III
XXVIIe dynastie perse
  • Cambyse II
  • Bardiya
  • Darius Ier
  • Xerxès Ier
  • Artaxerxès Ier
  • Xerxès II
  • Sogdianos
  • Darius II
  • Artaxerxès II
XXVIIIe dynastie
XXIXe dynastie
XXXe dynastie
  • Nectanébo Ier
  • Téos
  • Nectanébo II
XXXIe dynastie perse
  • Artaxerxès III
  • Arsès
  • Darius III
Période grecque
Dynastie macédonienne
(parfois appelée XXXIIe dynastie)
Dynastie lagide
(parfois appelée XXXIIIe dynastie)
  • Ptolémée Ier Sôter
  • Ptolémée II Philadelphe
  • Ptolémée III Évergète
  • Ptolémée IV Philopator
  • Ptolémée V Épiphane
  • Ptolémée VI Philométor
  • Ptolémée VII Néos Philopator
  • Ptolémée VIII Évergète Tryphon (Physcon)
  • Ptolémée IX Sôter
  • Ptolémée X Alexandre
  • Ptolémée XI Alexandre
  • Ptolémée XII Néos Dionysos
  • Bérénice IV
  • Bon article Cléopâtre VII Théa Philopator
  • Ptolémée XIII Théos Philopator
  • Ptolémée XIV Philopator
  • Ptolémée XV Césarion
Suivent les périodes romaine et byzantine de l'Égypte.
  • icône décorative Portail de l’Égypte antique